20 Janvier 2009
« Endettez-vous ! clamait Sarko, y a des affaires à faire » et l’immobilier grimpait en flèche.
Mais comme chez son ami Bush, tout s’est tout à coup écroulé. A Arras les bâtiments s’étaient mis à pousser partout comme des champignons : 700 logements sont actuellement sur le marché, mais trouvent de moins en moins preneurs. Plus de 170 projets ont été brusquement abandonnés et les agences immobilières se vident. Le pire à craindre est malheureusement pour les gars du bâtiment.