Rendement record mais à quel prix ? Notre région cultive des betteraves sucrières sur 51 000 hectares mais ne compte plus que quatre sucreries
ce qui signifie des centaines de milliers de km à parcourir pour les transporter à travers nos deux départements. On a battu cette année des records de rendements (84,8 t. à l’hectare) et les
producteurs annoncent comme « une mauvaise nouvelle » (sic) qu’on veuille les obliger à réduire les fongicides, pesticides et herbicides dont ils arrosent leurs champs. Ils oublient de
dire que ces poisons qu’on retrouve dans nos assiettes sont aussi des HOMICIDES.